samedi, novembre 26, 2005

Karaté RIP


Encore un grand qui nous quitte.
PAT MORITA R.I.P
Monde de merde.

jeudi, novembre 24, 2005

"24" c'est nous.


Et c’est reparti pour un tour !…
Ce soir Jack et sa bande revient nous faire bander (oui elle était facile celle-ci) !
Un « 24 » et ça repart, toutes les années depuis 4 ans, déjà, Jack Bauer et tout le C.T.U vient nous sauver d’une menace plus mortelle à chaque fois. On va encore être stressés pour lui, on va encore transpirer pour lui, on va encore sacrifier nos portables pour lui, le temps de quelques épisodes. Il y a des rumeurs qui disent que cette saison serait la moins bonne, il y en a même qui disent quelle serait trop réactionnaire ! Et alors ? Qu’est-ce qu’on s’en bat les couilles nous ? On est pas là pour refaire le monde, nous ce qu’on veut c’est des morts qui devraient pas être morts, des traîtres qui devraient pas être des traîtres et Jack toujours vivant à la fin pour qu’on soit sur d’avoir notre dose de 24 l’année prochaine !
Et puis si elle est vraiment moins bonne que les autres, c’est pas grave parce que le moins bon des « 24 » vaut mieux que le meilleur des Navarro et Julie « la pûte » Lescaut réunit !!!
Ben ouais ici on ne fait pas de politique, on est juste là pour passer un bon moment bien tendu avec notre pôte de L.A, merde ! Pas la peine de faire de géopolitique même si je le concède cette série dépeint une Amérique sécuritaire et repliée sur elle-même, mais n’est-ce pas la réalité après tout ? Dirty Harry n’était pas belge à ce que je sache…
Et puis, avouons le, Jack c’est un peu le tonton qu’on voudrait tous, un mec mystérieux, avec des guns qui dépassent de ses blousons et un téléphone qui sonne toutes les 30 secondes, qui serait jamais là aux repas de familles mais qui ramènerait de superbes cadeaux de pays qui n’existent pas sur nos cartes géographiques à nous…
Ouais nous on kiffe « 24 », ça va encore se battre pour avoir les k7, ça va se boucher les oreilles quand les autres parleront d’un épisodes qu’on a pas vus, et ça va s’envoyer des sms en disant : « Jack il encule 20 fois Mc Lane » !
Ouais « 24 » c’est tout ça.
« 24 » c’est à nous.
« 24 » c’est nous.

Magneto.

dimanche, novembre 20, 2005

Headbangers Vol. 1


YO ! les frères et les soeurs !
Premier volet des résidences Headbangers le 1er décembre 2005 à la Marquise à 22h30 featuring Pedro Winter aka Busy P. et Justice.
Alors si vous n'avez pas envie de manquer la naissance des futurs Daft Punk, venez !!!

OBEY.

samedi, novembre 12, 2005

Bonne nuit les petits...





Nous étions ce soir à Tarkus avec Noelle, Makoto et tous les autres, il est 3h42 du matin, vous comprendrez que là, j'ai pas trop envie de raconter ma vie...

Matane.

mercredi, novembre 09, 2005

Mes reves humides.




J’ai toujours rêvé d’un bon Onsen bien chaud au milieu d’une forêt, en plein cœur d’un Japon authentique et pas encore rongé par les néons et les Japonaises de Shibuya peroxydées passées aux UV 4 fois par jour. Ce rêve, je l’ai réalisé hier, à Hakoné, à deux heures de Tokyo. Après avoir supporté les hordes de salary man qui se rendent en troupeau au travail, après avoir été complètement compressé par ceux-ci, quand 3 sortait, 10 rentrait à chaque station, et quitté petit à petit les buildings de Tokyo pour les rizière du japon. J’ai enfin touché au but après un deuxième petit périple en train à travers la montagne. Un minuscule téléphérique nous attendait, géraldine et moi, pour nous rendre dans un ryokan accessible uniquement grâce à celui-ci, le Yamatoya Hotel.
C’était déjà magique. Mais rien ne nous avait préparé à la suite…
Après nous avoir conduit dans notre chambre, un repas gargantuesque nous fut servi. Ce ne sont pas moins d’une trentaine de plats différents qui défilèrent sur la table. Des goûts inconnus et des sensations nouvelles. Voilà le japon que j’attendais depuis toujours, à croire qu’il faille montrer patte blanche sous forme de nombreux voyages, et ainsi prouver son courage et sa vaillance avant que le pays ne vous offre quelques-uns de ses innombrables trésors.
Samurai, c’est un métier.
Vint ensuite l’heure du tant attendu bain. Un petit chemin de terre au milieu des bois me mena jusqu’à lui. Il fumait de joie de me recevoir. Je m’empressais de retirer mon surplus de vêtements, pressé de faire sa rencontre et ainsi tutoyer le plaisir que s’offrent les Japonais depuis la nuit des temps. D’abord se laver à côté, rituel indispensable bien que plutôt désagréable par la température à cette époque de l’année. Mais un onsen se mérite, et il y a des sacrifices bien minces au regard du plaisir qui vous est offert ensuite. Je venais donc me glisser dans une eau à 45 degrès qui nous arrive tout droit des entrailles de la planète.
Comment décrire ça ? Impossible tout simplement.
Sous mes yeux des montagnes rouges orangées s’étalaient et des cascades rugissaient en contre bas.
Est-ce que je rêvais ?
Peut-être.
Le revers de la médaille est que le onsen ne s’offre pas éternellement, la température de l’eau provoque une accélération cardiaque, qui, au bout de quelques minutes, devient vite épuisante et finalement très désagréable.
Ce sont donc ces instants, entre l’entrée dans l’eau et la fièvre, qu’il faut savoir savourer à leur juste mesure.
La suite n’est que succession de draps frais, de tatami, d’oreillers douillets, de sieste… Et de rêves.
Onsen, mon amour.

L'invité mystère...

Il y a des villes où l’on fait des rencontres inattendues et loufoques.
Tokyo en fait incontestablement partie depuis aujourd’hui. Oui Pharell Williams c’est sexy, mais avouer qu’une star de la chanson française qui à eue sa petite heure de gloire il y a quelques dizaines d’années avec une chanson sur un certain zizi c’est beaucoup plus drôle non ?
Il était là, attablé à un sushi bar à côté de Géraldine et moi, la tête dans son saké, un stylo à la main en train de griffonner ce qui sera certainement un de ses futurs tubes sur un coin d’oshibori.
Pierre Perret en chair et en os (surtout en chair d’ailleurs, il est plus gros qu’à la télé…).
Je m’aventure en me penchant vers lui et lui lance un petit « j’aime beaucoup ce que vous faite ». Il se tourne vers moi, me sourit et me rétorque à son tour « moi aussi j’aime beaucoup ce vous ne faite pas ». Nous éclatons de rires en cœur. S’installe ensuite une conversation qui nous portera du Japon à un état des lieux de la chanson française, sans oublier bien évidemment « la bouffe », comme il dit Le Pierre. Il nous confie qu’il tient le sujet de son prochain album, que le japon lui à redonné l’envie d’écrire et de vivre.
Ce sera « Japautomne ». Son titre de nouvel album sera « Japautomne ».
Un titre à l’image du monsieur : simple, bon vivant et qui fleure bon la mousse d’arbre humide.
Chapeau bas l’artiste, et encore bravo.

lundi, novembre 07, 2005

"Next location is... The Hell !!!"




D’abord une grande enseigne lumineuse qui vient faussement nous faire croire qu’on va s’amuser et rigoler. Ensuite, le petit ascenseur tout poisseux et mal éclairé. Direction le 4F. Les portes s’ouvrent. Du bruit, beaucoup de bruit, un mélange de pixels auditifs. L’odeur de cigarette froide dégoûtante vient nous prendre les narines par la gorge. On rentre d’un pas décidé. On est pas là pour plaisanter.
Bienvenue à MORE.
Place forte du jeux vidéo à Tokyo, on dit que les meilleurs de leur discipline sont ici. Il y a même des matchs Tokyo-Osaka par réseaux interposés. Ben ouais mon pôte on est au Japon, pas à « la-tête-dans –les-nuages-connard ». On toise la salle, on cherche CVS 2, la raison même de notre venu. Une fois la borne repérée on fouille ses fonds de poches pour trouver ses maudites pièces de 50 yens, et comme y en à jamais assez on va directement changer celles de 100 sachant qu’on est là pour un moment. La monnaie en main, on jauge ses potentiels adversaires. On en choisit un, n’importe lequel, de toute façon ils sont tous minimums bons. Tient le tout frêle avec ses lunettes bon marché et son pantalon trop cours que sa mère n’a même pas eu le temps de reprendre, à cause de ses 57 heures d’usine par semaine, celui avec les jambes croisées un peu de côté devant sa borne . On se pose confortablement devant son écran comme quand on prend une fille par les hanches avant une bonne levrette, c’est toujours délicat au début. On essaie de charmer la machine, on lui fait de l’œil, on la caresse du fantasme, on lui promet qu’elle va passer un beau moment en notre compagnie, et puit on finit par lui susurrer qu’on va faire d’elle notre salope et qu’elle va aimer ça la garce.
Mais bon ici on est à MORE, je le rappelle. Donc, inutile de se bercer d’illusion. On va en chier et on le sait. On introduit sa pièce et son courage.
« Here comes a new challenger ».
On choisit son groove et sa team. Pas la peine de faire dans le cirque et le fun, on n’est pas chez Barnum, on prend du solide, du concret. Vega ratio 1, Blanka ratio 3. Carrément ! le fils d’eup d’en face nous sort Geese ratio 1, Bison en 1 et Sagat en 2. Pas banal.
« Fight » !
Bon ça démarre plutôt mal, on prend un perfect d’entrée, on lui met pas un coup, il a pas un bleu l’enfoiré. Vient Blanka. Là il rigole moins l’enculé, il vient de perdre ses deux premier perso alors qu’on à encore 3 quarts d’énergie. Oui mais voilà, s’il a mis son Sagat à la fin en ratio 2 c’est pas pour faire décoration sur l’écran. Non forcément c’est pour nous violer notre pauvre personnage qui arbore fièrement son ratio 3. Et c’est ce qui se passe. Des combos, des furies, des petits coups, des moyens, des gros, des passages dans le dos, des rolling stone machins, bref, toute la panoplie du mec qui s’est déjà bien usé les empreintes digitales sur les sticks de son pays.
Et c’est comme ça jusqu’à la fin. On perd, on perd et l’on reperd. Sans voir le temps passer. C’est ça le concept de « la salle du temps », c’est un endroit ou seul la machine, ton adversaire et toi coexistés, le reste n’existe plus. C’est toi contre le reste de monde. Pas de supporters.
Entre 2 combos qui ne te font plus toucher le sol dans la gueule les relents des 16 sushis que l’on s’ait envoyés quelques dizaines de minutes plus tôt et qu’on regrette amèrement à cet instant là, nous rappelle si besoin est qu’ici on est au Japon, ici on est à MORE, … ici on est en enfer !
Enjoy or die.

dimanche, novembre 06, 2005

Les images ont la parole.





Etant proche du coma ce soir, je vais laisser les images s'exprimer pour moi et vais donc passer mon tour pour ce coup ci.
Arigato.

samedi, novembre 05, 2005

The Infamous Martini



Pour cause de perte de mémoire je ne pourrais vous conter ce que nous avons fait avant 20H30.
Je vais donc aller droit au but.
Après s'être remplit le ventre au Yoshinoya du quartier nous nous sommes délicatement dirigés vers le quartier de Roppongi, à Nishi Azabu exactement , c’est ici qu’avait lieu dans le très select lieu « Warehouse » la soirée de lancement de la marque Ice Cream de Pharell williams (accessoirement moitié des Neptunes, je le rappel pour ceux qui ne font pas partie de « l’élite ») au Japon.
Arrivés à la porte, deux japonais s’occupe de dire qui peut et qui ne peut pas rentrer, et surtout de filer les entrées VIP…
Inutile de dire qu’à 3500 Yens l’entrée (environ 180 frs) j’ai vite cherché un moyen de moyenner ! Mais la façon dont j'ai réussi à nous faire rentrer restera secrète. Disons qu'il y à dans le milieu de la nuit des mots qui ouvrent toutes les portes,...même à Tokyo.
La boîte était pas mal, sans plus, sombre et très enfumée à vrai dire, d’autant plus qu’on est arrivé beaucoup trop tôt, ce qui nous à permis de bien étudier le phénomène dis « le clubeur Tokyoïte ». La moitié est habillée en Bape, l’autre en Billionaire Boys Club, pas très original. Vient l’heure de se diriger vers le bar, après inspection de la carte je choisi un classique, un martini bianco, avec ça je ne peux pas me tromper, Géraldine prend un mojito (en vrai c’est pas un mojito mais je me souviens plus du nom du cocktail). Bref, je demande de la glace avec mon martini, le barman ne comprend rien, je trempe les lèvres dans mon verre, et là une effroyable sensation de dégoût me traverse les papilles, je lance un violent et vindicatif « mais qu’est-ce que c’est que cette merde ?! », et pour être bien synchro, il en va de même pour Géraldine…
Le verre de Géraldine finira quelques minutes plus tard posé sur le bar, le mien viendra s’éclater sur le sol de la boîte. Et oui chacun son style.
Hello Kitty VS Hokuto no ken.
Déjà 1h du matin et toujours aucune trace de Pharell et de sa bande…
1h 30… Rien. Le temps devient long.
Ah ! Des caméras, des filles qui crient, des golgoths noirs, des chaînes en or de plusieurs tonnes, oui c’est lui ! Mais impossible de le voir, c’est l’hystérie totale.
La foule s’amasse devant la scene en attendant son messie.
Pharrell se met au balcon de sa loge genre Michael jackson, il fait un signe de la main, les moutons l’imite, c’est ridicule et fascinant à la fois, j’ose à peine imaginer l’égo du mec à ce moment là.
Là un groupe de rap japonais dont j’ai oublié le nom vient jouer 2, 3 morceaux, Géraldine se tourne vers moi et me dit : « Mais c’est de la merde », je ne peux malheureusement pas lui donner tord sur ce coup ci.
Pharrell arrive enfin sur scène, émeute volume 2.
Le terme de rockstar prend ici tout son sens. Je surveille un japonais passablement éméché juste devant nous qui vient de renverser une partie de son verre de bière sur la jeune fille qui se trouve devant lui. J’avais bien raison de le surveiller puisqu’à trois reprise il à manquer de renverser Géraldine. Voilà une situation qui m’énerve particulièrement : un mec bourré casse les couilles à tout le monde.
Profitant de mes deux têtes de plus que lui je lui rentre gentiment, mais violemment quand même dans le dos en lui mettant un petit coup de pied d’automne qui manque de le faire tomber. Je ne m’ excuse évidemment pas.
Il se retourne, me regarde, un petit mais néanmoins ferme « what ?! » de ma part lui fait comprendre qu’il est inutile de chercher plus loin… (YEAH !!!).
Il a donc à ce moment-là la réaction qu’auraient eue 95 pourcent des Japonais face à un conflit de ce type : il ferme.
Pendant ce temps-là Pharell enchaîne 3, 4 tubes genre Drope it like it’s hot,et puis s’en va sous un tonnerre d’applaudissement qu’il n’a à mon avis qu’à loitié mérité ne serais ce que pour le fait de rapper par dessus ses disques, fâcheuse habitude qu’on les américains de faire leurs live.
Chad Hugo et Nigo jonglent aux platines avec des classiques new-yorkais type Mobb Deep et Wu-Tang Clan pour finir. Ceci terminé, on prend nos affaires et l’on se casse. Il est à cet instant précis 3h30 du matin. On marche un peu, on s’arrête dans un supermarché prendre quelques trucs à manger, on se pose en terrasse (oui une terrasse à près de 4 heures du mat…). On tombe sur un Tsutaya (sorte de fnac en grand), toujours ouvert à cette heure-ci…
Un petit tour au livres, un autre au dvd, j’m’achète un bouquin sur les studio de dj américain en me disant que j’achète un livre à 4 h du mat à Tokyo et que c’est cool (n’importe quoi…).
Une petite musique nous fait comprendre qu’il est l’heure de sortir le magasin ferme (déjà ???). Il est 4h du matin.
On saute dans un taxi, direction takadanobaba station , le chauffeur nous parle dans sa langue natale, on ne comprend rien.
Mais on s’en fout, on est à Tokyo, c’est la nuit, il fait bon, on est bien…
Unbreakable.

jeudi, novembre 03, 2005

"Reste près de moi...".






« Reste près de moi, tu seras dans les bonnes ambiances », la première fois que j’ai dite ça c’était sur le tournage d’un clip d’Akhenaton à Marseille, j’avais balancé ça à mon ami Julien, lui, si peux habitué aux rayons aveuglants du show biz, à l’inverse de moi qui peux regarder droit dans les yeux les Daft punk sans subir de brûlure de la rétine, simple question d’habitude…
Bref, « reste près de moi tu seras dans les bonnes ambiances », c’est ce que j’ai répété à Géraldine quant au moment de rentrer dans l’avion qui allait nous mener à Tokyo le chef de cabine nous à demandés de nous mettre délicatement sur le côté. Tout stewart ou hôtesse de l’air qui se respecte sait ce que cela veut dire.
Traduction : « Pose toi là 30 secondes, j’vais mettre ton petit cul en classe affaire ».
Champagne, foie gras (que je ne consomme pas, je suis contre le gavage des oies), plateau de fromages et de desserts, viandes et poissons de premier choix, nappe en tissu et couverts en acier. Non ici rien à voir avec la pathétique classe tempo ou tes genoux s’enfoncent mortellement dans le dos de ta victime de devant, ou les plats proposés son tous plus fades les uns que les autres, ou ton voisin d’à côté prend ton épaule pour son oreiller et bave sur ton t-shirt déjà bien imbibé de sueur, là ou nulle part tu n’es bien, là ou une heure de vol dure une semaine…
On voudrait presque que ça dure plus longtemps tellement l’avion te tiens au creux de son aile, on est presque déçus d’arriver.
Arrivé au Japon, on passe la douane (sans problème), on va prendre son train, on prend le pouls de la ville quoi. Direction l’hôtel, ouf la connexion internet marche ! Une bonne douche, et on repart. Direction Shibuya, mais avant ça deux trois inari de chez Seiyu (le casino du bled) histoire d’être définitivement dans le bain. On passe devant le magasin de gashapon de Dave le mac, et go bye the train !
Arrivé à Shibuya, on se dirige vers le « Cosy corner » pour dévorer un jumbo choux à la crème. Le ventre plein il est temps de s’attaquer à HMV. Repérages de rigueur, dvd, cd, livres, mmmmm… c’est bon !
Géraldine m’attend dehors. Je lui demande de m’accompagner à la salle d’arcade juste en face du HMV, là on va voir si je me suis suffisamment entraîné à CVS 2 avec mon super stick !
Bon inutile de faire durer le suspens : je me suis fait démonté !
Strike directe avec Ryu ratio 1, puis restrike avec Rugal ratio 2. Pas l’ombre d’une résistance. Une vraie merde. Combo sur combo, furie sur furie. Une humiliation totale. Mais bon moi j’ai autre chose dans la vie, je ne passe pas mon temps dans un endroit bruyant et qui pue la clope (c’est ce que je me dis pour me consoler). Un petit tour à mandarake pour essuyer mes larmes et constater que la boîte du gaikin que jass m’a demandé est énorme (environ un tiers de ma valise serait occupé pas cet objet…). Un saut chez DMR, Tokyu Hands, on remonte sur Harajuku, on passe devant la crêperie, on va à Kiddy land, je m’endors en attendant géraldine dehors (je n’ai pas dormi depuis le départ de paris). On rentre à l’hôtel après s’être acheté des yaki soba, une douche, on mange, je discute un bon moment avec Flow et kenneth sur msn, j’appelle mon pôte Keisuke, c’est ok pour Pharell demain soir, j’écris sur mon blog, j’ai sommeil, je suis à Tokyo, une pensée pour vous, je coupe.