mercredi, mai 31, 2006

Mon avis sur X-men 3...

Ben c'est tout pourri.

vendredi, mai 26, 2006

Cosmos Dream Team


Dans les seventies, un club à nourrit tous les fantasmes, c'était le New York Cosmos.
Pelé et Beckenbauer, entre autre, sont venus réaliser le rêve de tout entraineur en jouant sous le même maillot.
Puis vinrent l'argent, les filles, la drogue, les orgies et tout le reste, et finalement l'inévitable chute d'un fantasme de milliardaire.
C'est l'histoire de ce club unique, dont j'étais fan tout petit sans avoir vu un seul match, que le documentaire "Once in a lifetime, the extraordinary story of the New York Cosmos" se propose de raconter (par la voix de Matt Dillon).
Je reviendrai prochainement sur ce club avec "mes yeux d'enfant" (J'amène les biscuits vous prenez les jus de fruits, ça va être super beau, vous verrez...).
We keep in touch les ami(e)s.

jeudi, mai 25, 2006

Apocalypse tomorrow (in L.A)



Comme je n'ai pas encore eu la chance de voir ce film tant attendu, je laisse ceux qui l'ont eue (cette chance) en parler...

"Dévoilé en exclu depuis Los Angeles par notre correspondant Philippe Garnier, le cadeau atomique Southland Tales était attendu à Cannes avec un mélange d'excitation ado et d'expectative adulte. La présence d'un objet aussi délirant, entièrement conçu depuis la matrice de la pop culture dans ses aspects les plus cathodiques n'était-elle pas déplacée sur la Croisette ? Rappelons que les acteurs principaux viennent soit des soaps SF lycéens (Buffy...), des nanars qui sortent en France début août (Hé mec ! Elle est où ma caisse ?....), des clips chorégraphiés pour MTV (Justin Timberlake), des stand-up comedies (Saturday night live) ou encore d'un espace-temps qui n'est plus répertorié nulle part (Christophe Lambert). Rappelons (bis) que Southland... traîne depuis longtemps dans les turbines à rumeur du Net comme le projet mégalomane d'un cinéaste de 30 ans, auteur du film devenu culte, Donnie Darko. Récupéré sous la coupe d'Universal, ce génie précoce a tourné son masterpiece à Los Angeles en trente jours sans un radis. Tout cela vient à l'encontre des goûts et couleurs supposées du plus grand festival de cinéma de la galaxie, où l'on plaisante rarement avec la notion d'auteur et guère plus sur le CV des comédiens. Le chemin parodique, parfois franchement grand-guignol, qu'emprunte Kelly n'est pas a priori la tasse de thé du cinéphile, encore que Cannes ait déjà délivré sa palme d'or à Pulp Fiction et Sailor et Lula. On ne peut pas non plus la donner tous les ans à l'Arbre aux gros sabots ni à l'Eternité dure mille ans...
Décharge de douilles. L'insolent Kelly a réussi son pari : tenir deux heures et demie durant la salle sur le fil du rasoir, entre deux eaux. Les pincettes critiques habituelles sont un peu inutilisables en l'état et il fallait voir l'embarras collectif à la descente des marches du petit landerneau professionnel enfin largué. Southland s'ouvre sur une explosion d'Hiroshima US au beau milieu d'un après-midi barbecue. L'action se déroule dans cet après-catastrophe, un futur proche (2008) où la pénurie de carburant est palliée par un groupe allemand providentiel, la compagnie US-ident, qui a élaboré un générateur d'énergie inépuisable calculé sur les flux de l'océan, mais dont la dynamique affecte graduellement le rythme de rotation de la planète. Des troubles du comportement (amnésie, angoisse...) commencent à apparaître, affectant en particulier une star de film d'action, Boxer Santoros (incroyable The Rock, roulant des yeux d'enfant réveillé en plein cauchemar), une vedette de film porno, Krysta Now (Sarah Michelle Gellar, à l'aise en gouroute du sexe politisé) et un vétéran de la guerre en Irak, Roland Taverner (Sean William Scott, l'étalon débile d'American Pie). Ce trio se retrouve impliqué de manière pour le moins embrouillée dans un complot néo-marxiste visant à déstabiliser une élection sénatoriale. Tout le monde est connecté par oreillette, les écrans de surveillance pullulent, la méfiance est le sentiment le mieux partagé et un geste de traviole vous vaut une décharge de douilles, sans sommation. Le compte à rebours de l'Apocalypse est lancé, une voix off invoque solennellement les textes messianiques, parle de l'Antéchrist, tandis que la folie cartoonesque des péripéties emporte le film d'action vers la comédie musicale (Pixies, Moby, Jane's Addiction, Wagner...) avant de le traîner par le col au plus près de cette faille spatio-temporelle qui menace de l'engloutir.
Southland Tales, dans sa démesure babylonienne, par sa tentative gonflée d'inventer un univers en faisant les poubelles du nôtre, se révèle être une sorte de tract-film engagé, une guérilla fictionnelle, visuelle, formelle, contre l'hégémonie militaire et plastique du pays le plus puissant du monde. Ou encore, selon Sarah Michelle Gellar, «une lettre d'amour et de haine à Los Angeles», plage terminale de la civilisation botoxée dont le cinéma commercial hollywoodien assure in situ la promotion et la domination globale. Il lui suffit d'entasser, en les exagérant à peine, la quasi intégralité des signes flashants du vide neuronal contemporain pour les faire briller et les détruire instantanément. La transformation de Venice avec sa foule d'hédonistes à la fraîche en cathédrale du chaos n'est qu'une des inventions narquoises de Kelly parmi cent. Ce n'est pas un hasard si l'un de ses maîtres à penser déclarer est Kurt Vonnegut Jr, écrivain qui s'étonnait récemment dans un pamphlet contre l'Amérique de Bush, Un homme sans patrie (Denoël), qu'on ait pu, une seconde, le qualifier d'auteur de SF, lui qui n'a jamais décrit que des usines atomiques.
Coquetterie explosive. Et si le film le plus réaliste du Festival était celui-là ? Il suffisait de se balader ce week-end sur la Croisette au milieu de l'effarant carnaval de bimbos et kakous à la coquetterie explosive, de saisir au vol, porté par un vent à décorner les boeufs (et déperruquer les retraités), des commentaires ventriloquant la parlote télé pour mesurer l'effet de synchronie entre ce que montre le film et la gabegie qui nous tient lieu de réel.
L.A., épicentre des tourments du nouveau siècle, est revisité à neuf. Ce n'est pas la ville du Lynch de Mulholland Drive, ni celle du Michael Mann de Collateral, mais une cité dont on ne perçoit ni les contours ni la cohérence. Tour à tour mégalopole, plage, désert, sous-bois, ruelle, L.A. est aussi un boyau évolutif qui se transforme au fur et à mesure qu'il ingère des quantités toujours plus phénoménales de matériaux humains, d'énergies, de biens de consommations. Alors quoi ? Un kit de survie valant geste artistique : la nausée comme réponse et le dégueulis comme axiome".

Par Philippe Azoury & Didier Peron, Libération le 22 mai 2006.

mercredi, mai 24, 2006

Donuts or cookies ?


La news est tombée cet aprem vers 18h30, il y a un album secret de Kanye West qui s'appelle : "Cookies fortune" !
Je fais le thé en attendant de le trouver... Miam Miam !

Playboy ?


A la demande de Miss Girafe j'affiche donc la photo d'un mec soi disant "bandant"...
(Enfin bon, tout est question de point de vue et de relativité t'as vu...).

samedi, mai 20, 2006

Champions du monde !




En Italie, on ne sait pas encore si on aura 23 champions du monde de football, mais on sait déjà qu'on a 5 champions du monde de slips Dolce gabbana !
On rigole mais j'aimerai bien voir Ribery, Cissé, Landreau, Malouda et Dhorasso dans une pub comme ça... Pour babou peut être.
Mais LOL.

American express nightmare

Après Martin Scorsese et avant Wes Anderson.
Même ses pubs sont étranges...

feed://www.mylifemycard.com/podcasts/index.xml

Superman & Shyamalan



Deux affiches de films ultra attendus...

"Biggs return"

Vous pensiez avoir tout vu de Star Wars ?

http://www.buzzpatrol.com/news/movies/rare-deleted-star-wars-scene-biggs-return-004522.php

vendredi, mai 19, 2006

La fille dans l'eau





"Ça" arrive...

jeudi, mai 18, 2006

WE FUCK ALONE




Nouveau cours métrage de 23 minutes de Gaspard Noé présenté à Cannes ce lundi, "We fuck alone" traite de la masturbation et de la solitude de chacun.
Film hautement sulfureux avec un peu de pornographie dedans, mais chez Gaspard, nous le savons bien... Tout n'est pas si simple.

Pour en savoir plus sur un des meilleurs réalisateur de tous les temps (j'assume) : http://www.letempsdetruittout.net/gasparnoe/

Electroma 3


L'affiche...
Présentation du film ce WE sur la plage du palais des festivals à Cannes pour les chanceux.

La vérité

Pour ceux qui veulent la vérité...

http://reopen911.online.fr/?page_id=7

vendredi, mai 12, 2006

Le poèmeur.


Peu d'entre vous le connaissais, il était l'ami des insomniaques et des routiers, mais il était surtout et restera Gérard de Suresnes.
Il nous a tristement quitté l'année dernière, emporté par un vilain rhume dans un dernier quatrain. Alors voilà, la meilleure façon de (re)découvrir ce légendaire poète de cabine téléphonique est encore de se pencher sur l'émission (en 3 parties) hommage de radio campus.
C'était l'époque des tatoos, de fun radio et de longues nuits passées à écouter les conneries d'un alcoolique qui me manque.
Repose en paix GéGé, we love you et je sais B. se joint à moi.

http://www.radiocampusparis.org/?p=866

jeudi, mai 11, 2006

Le Parrain.


Excellente interview du Parrain du rap français.
Savoure petit et apprends, à ce niveau c'est de la science.
http://www.lehiphop.com/interviews/itw93-akhenaton_par_mehdi_et_tets.html

lundi, mai 08, 2006

Electroma 2






Allez c'est parti je fais péter les premières photos d'Electroma... et le live audio des Daft à Coachella !!!
C'est cadeaux les kids...

http://daftfan.free.fr/Coachella.mp3

dimanche, mai 07, 2006

NELLY


Juste pour vous dire que l'album de Nelly Furtado va tout démonter (oui vous avez bien lu, et en plus j'assume !)...
Pourquoi ?
Parceque Timbaland + Neptunes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
J'ai écouté 3 morceaux, 3 brûlures.
Rentre chez toi Gwen Stefani.
Ici le premier clip : http://www.burninthespotlight.com/wp-content/video/burninthespotlight.com_nelly_furtado_promiscuous.mpg

Ceux qui n'aiment pas ne sont pas hétéros, à vous de voir.

FLESH


Enfin vu aujourd'hui le chef d'oeuvre d'Edouard Sallier "Flesh", cauchemar visuel sur fond de 11 septembre.
Le film à crée la polémique au dernier festival ResFest aux états unis à cause d'un point de vue qui ne fait la part belle à personne, ni aux américains, ni aux tarés qui pilotaient les avions (et à tous ceux qui partagent leur point de vue).
Vision fantasmée de New York, pluie d'avions, pénétration de tours, apocalypse pixelisée.
Horrifiquement superbe.
Chacun sa morale disait l'autre.

vendredi, mai 05, 2006

Electroma.


Première photo du tant attendu premier film des Daft, le mystérieux "Electroma", ça sent le THX 1138 à plein nez cette histoire...

TRON



Tout simplement les plus belles baskets du monde, une vraie buterie !

jeudi, mai 04, 2006

On (est) a.




La musique et la mode ont toujours étés de pairs. Le punk, le rock, la soul, le rap, le funk, tous les styles je vous dis. On met des polos Lacoste avec des couleurs débiles et des Stan Smith blanches pour éblouir les filles dans la rue. On met des lunettes de soleil Initium noires avec des montures blanches totalement fatales parce que ça tue. Tu mets que des replica et on le sait. On a des lacets fluos qui défoncent tout. On a les derniers Ipod sur lesquels on met nos musiques et nos vidéos à nous. Le monde entier nous envie. Dans le métro on joue à Wipe Out sur nos PSP avec des circuits customisés par 123 klan. On est les fils de la société de consommation prêts à tuer nos parents pour un riff de guitare ou une paire de Bape marvel. Putain nous cherché pas. On achète plus de vêtements en une journée que vous dans toute une vie. On a des Nike Laser introuvables. On a pas envie de s’habiller à la Redoute parce que le look c’est ultra important et qu’on ne veut pas ressembler à des punks à chiens vêtus de sacs poubelles. On est des néo romantiques. On écoute Justice et Madonna, Vitalic et Vivaldi, y a pas de frontière, on est dans le mauvais et le bon goût puisque c’est nous qui définissons nos règles, on est des « fashion shakers ». On est le père de ton style sans être de ta putain de famille. On achète des vinyls et pas des cd’s parce que le son est meilleur et que le reste de la planète ne le sait pas. On a décidé de se donner les moyens d’avoir des trucs qui brillent et qui attirent l’œil. On vit bien nos obsessions. On fait des jaloux. On s’achète des bougies hors de prix chez Colette parce que ça a la classe et que ça sent bon. On a des MPC noire parce que c’est notre hommage aux Black Panthers. On connait les Daft Punk. On a des jouets qui ne servent à rien plein nos vitrines parce que c’est beau, et quand on passe devant on est fier de les avoirs. On va passer des WE à Barcelone, Londres ou Tokyo parce qu’on en a envie et qu’on a des euros à dépenser là-bas et pas ici. Tout ça, ça va ensemble. On n’est pas des gosses de riches et on n’a pas à se justifier.
On te fout dans la merde parce que tu veux nous ressembler. On est branchés parce qu’en avance de 10 ans sur tout le monde, on a toujours un coup d’avance. Ce ne sont pas les autres qui sont en retard. On met trop d’argent dans tout ça. Nous teste jamais. On connaît tout. Cherche pas. Si on dit « tout ça c’est mortel », tu dis « ok vous avez raison les mecs ». T’attaque pas aux forts. Nous sommes nombreux, armés et dangereux. On tue putain de toi.